Résultats de l’index égalité professionnelle femme-homme 2022

Chaque année, les entreprises françaises[1] sont tenues de publier leur index d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Cette notation permet de mesurer leurs efforts pour garantir l’égalité salariale.

L’Index est défini en considérant 5 indicateurs :

  • L’écart de rémunération femmes-hommes,
  • L’écart de répartition des augmentations individuelles,
  • L’écart de répartition des promotions,
  • Le nombre de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité,
  • La parité parmi les 10 plus hautes rémunérations.

A travers son programme « Nurture », le Groupe Bel entend créer les conditions d’attractivité, d’évolution et de rémunération, permettant à chaque collaborateur de grandir et s’épanouir professionnellement, tout en développant l’engagement de tous.

La diversité et l’inclusion font partie intégrante du modèle social du Groupe. Les projets menés par le Groupe, en faveur de la mixité Homme/Femme s’inscrivent dans notre engagement en faveur des Objectifs Développement Durable des Nations-Unies, et notamment l’objectif 5 pour l’égalité entre les sexes. En 2022, le Groupe a d’ailleurs publié sa charte d’engagements pour la Diversité et l’Inclusion.

Informations relatives à l’index égalité Femmes-Hommes au titre de l’année 2022

 

  • le Groupe Bel (activité fromage) a obtenu la note de 99/100
  • la marque Materne a obtenu la note de 91/100
  • la marque Mont-Blanc a obtenu la note de 92/100
  • All In Foods : de part la taille de ses effectifs, l’entité ne peut mesurer que partiellement son Index d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Elle obtient la note de 40/45.

Détail des notes

Le Groupe Bel (activité fromage) a obtenu la note de 99/100

  • Ecart de rémunération femmes-hommes : 39/40
  • Ecart de répartition des augmentations individuelles : 20/20
  • Ecart de répartition des promotions : 15/15
  • Nombre de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité : 15/15
  • Parité parmi les 10 plus hautes rémunérations : 10/10

All In Foods a obtenu la note de 40/45

  • Ecart de rémunérations : non calculable
  • Ecart de répartition des augmentations individuelles : 35
  • Nombre de salariés augmentées à leur retour de congé maternité : non calculable
  • Parité parmi les 10 plus hautes rémunérations : 5

Materne obtient la note de 91/100 

  • Indicateur écart de rémunérations : 36
  • Indicateur écart de taux d’augmentation : 20
  • Indicateur écart de taux de promotion : 15
  • Indicateur retour de congés maternité : 15
  • Indicateur hautes rémunérations : 5

Mont Blanc obtient la note de 92/100

  • Indicateur écart de rémunérations : 38
  • Indicateur écart de taux d’augmentation : 35
  • Indicateur retour de congés maternité : NC
  • Indicateur hautes rémunérations : 5

Ecarts éventuels de représentation femmes-hommes dans les postes de direction[2]

BEL SA :

Cadres dirigeants  :

  • Pourcentage de femmes parmi les cadres dirigeants : 42.6 %
  • Pourcentage d’hommes parmi les cadres dirigeants : 57.4 %

Instances dirigeantes  :

  • Pourcentage de femmes parmi les cadres dirigeants : 42.6 %
  • Pourcentage d’hommes parmi les cadres dirigeants : 57.4 %

FBPF :

Cadres dirigeants : aucun cadre dirigeant

Instances dirigeantes :

  • Pourcentage de femmes parmi les membres des instances dirigeantes : 29.6 %
  • Pourcentage d’hommes parmi les membres des instances dirigeantes : 70.4 %

 

Pour découvrir l’ensemble des mesures mises en place par le Groupe en faveur de l’égalité professionnelle, consultez le rapport intégré du Groupe Bel.

 

 

[1] L’obligation concerne les entreprises d’au moins 1000 salariés depuis le 1er mars 2019 ; celles d’au moins 250 salariés, depuis le 1er septembre 2019 ; celles d’au moins 50 salariés au 1er mars 2020.

[2] Loi Rixain : L’article 14 de la loi n° 2021-1774 du 24 décembre 2021 visant à accélérer l’égalité économique et professionnelle crée une obligation de représentation équilibrée entre les femmes et les hommes parmi les cadres dirigeants et les membres des instances dirigeantes des grandes entreprises, accompagnée d’une obligation de transparence en la matière. Ces obligations concernent toutes les entreprises d’au moins 1 000 salariés pour le troisième exercice consécutif.